Du 25 mai au 27 novembre 2020, HDREAULYS va réaliser des travaux de rénovation des réseaux publics de collecte des eaux usées et pluviales de la rue de Glatigny, au Chesnay-Rocquencourt. Compte tenu de l’état d’usage de ces réseaux, les travaux nécessiteront des remplacements en lieu et place par des techniques de terrassement en tranchée et de réhabilitation par l’intérieur des collecteurs et des branchements situés en domaine public. Ces travaux impliqueront l’aménagement de la circulation (alternat) et du stationnement de la rue de Glatigny au fur et à mesure de l’avancement du chantier (de la rue de Versailles vers la place Laboulaye) notamment au droit des regards d’assainissement matérialisés par des plaques en fonte situées sous chaussée et trottoir. Une information préalable et un balisage adéquat seront mis en place par les entreprises HPBTP et SADE, en charge des travaux, à l’avancement du chantier. Vous trouverez ci-dessous un plan localisant la position des regards d’assainissement et des zones d’ouvertures de tranchées prévues.

La reprise de l'adoucissement a commencé : l'eau adoucie est progressivement de retour dans le réseau AQUAVESC. Pour rappel, depuis le début du confinement, les effectifs réduits disponibles à l’usine de production de Louveciennes étaient seulement déployés sur les traitements de base, ce qui a conduit à suspendre provisoirement l’unité d’adoucissement en service depuis mars 2017.     Retrouvez notre article mentionnant les répercussions des mesures de confinement sur le traitement de l'eau potable : https://www.eauxseineouest.fr/2020/04/06/covid-19-informations-sur-leau-potable-et-son-traitement/    

Le Gouvernement a mis en place des mesures de soutien aux TPE, aux professions libérales et aux micro-entrepreneurs, afin de limiter les impacts économiques dus au confinement, comme un report des échéances des factures, leur lissage sur plusieurs mois ou un abandon des pénalités de retard. Ces mesures concernent notamment les factures d’eau : AQUAVESC s’engage avec les différents délégataires de son territoire pour informer et accompagner les acteurs économiques concernés.   Les critères pour bénéficier de cette aide sont : Un effectif inférieur ou égal à 10 salariés ; Un CA HT lors du dernier exercice clos < à 1 million € (voir autre disposition du décret si exercice non encore clos) ; Un bénéfice imposable augmenté le cas échéant des sommes versées au dirigeant au titre du dernier exercice clos < à 60 000 € ; Une interdiction administrative d’accueil du public entre le 1er et le 31 mars 2020, ou une perte de chiffre d’affaires supérieure à 70 % pendant cette période par rapport à l’année précédente ; Une activité débutée avant le 1er février 2020 et pas de dépôt de déclaration de cessation de paiement au 1er mars 2020.   Nos délégataires proposent un dispositif d’accompagnement pour les consommateurs sur leurs sites internet : http://www.toutsurmoneau.fr (SUEZ) http://www.saurclient.fr (SAUR), www.eau.veolia.fr/infos-covid-19 (VEOLIA). Néanmoins, nos délégataires sont également à l’écoute des usagers qui auraient des difficultés pendant la crise sanitaire pour payer leurs factures. Vous pouvez vous référer à la carte ci-dessous pour vous rapprocher du délégataire lié à votre commune.

HYDREAULYS et son délégataire, la SEVESC, appliquent depuis le 6 mars un plan de continuité d'activité qui assure le maintien des services d'assainissement tout en garantissant la protection des agents. La réduction des effectifs à la station d'épuration Carré de Réunion et la quantité limitée des moyens de protection du personnel nous obligent à suspendre les missions non prioritaires comme l'atelier de chaulage des boues qui permet de garantir leur hygiénisation. En considérant le temps estimé pour la période de confinement,  le délai nécessaire pour la reprise complète de l'activité, et la nécessité pour les agriculteurs d'anticiper un autre mode de fertilisation (achat d'engrais), HYDREAULYS ne procédera pas à l'épandage des boues de la station d'épuration Carré de Réunion en 2020. Les boues sont évacuées vers la filière alternative prévue en secours de l'épandage. Enfin, HYDREAULYS reste en contact régulier avec les autorités administratives pour suivre l'évolution de la situation.   Communiqué HYDREAULYS

En France chaque année, plus de 7 milliards de lingettes sont utilisées pour le ménage, la toilette des bébés, le démaquillage et les soins du corps. Très pratique, a priori économe en eau, ce produit courant est trop souvent jeté dans les toilettes. Les consommateurs sont induits en erreur par la mention « biodégradable » indiquée par les fabricants. Pourtant, ces petits carrés de coton, en apparence anodin, peuvent provoquer des dégâts inattendus. S’il est vrai que les lingettes usagées mettent 9 jours pour se dissoudre dans l’eau et trois mois pour se dégrader entièrement dans la nature, une fois jetées dans les toilettes, il leur faut moins de 2 heures pour arriver jusqu’à la station d’épuration ! En chemin, elles se mélangent à la graisse et à d’autres détritus pour former des amas qui bouchent les canalisations. Lorsqu’ils ne restent pas coincés, ces amas finissent leur course à la station d’épuration, dont le fonctionnement peut alors être perturbé, voire interrompu. Cela nécessite des interventions de nettoyage et de curetage qui augmentent le coût de traitement des eaux… et se répercutent inévitablement sur la facture des habitants. À cet aspect financier s’ajoute le risque de pollution dû à l’engorgement généralisé des égouts. Ayez le bon réflexe : jetez-les à la poubelle, pas dans vos toilettes.   HYDREAULYS_flyer